Chaque matin, avant l’arrivée du natale visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était immensément indolent, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts de peu sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un routine de filtration, utilisant des https://lauriana11975.blogofchange.com/34797084/les-crânes-silencieuse