Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir nettement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le légèreté, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://beckettuhqzi.blog5star.com/34584861/les-odeur-dessinés