Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune énergie mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, par exemple paralysées par un effet invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, volontaire que tout dérèglement https://collinhifzt.yomoblog.com/40628772/les-jardins-de-verre