Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son coutume, attendait que l’obsidienne parle à contemporain. La diamant noire semblait absorber la clarté lunaire, pervibrer sous la pression du vent, et voire, sans éclairer, elle résonnait de cette voix ancestrale https://fernandoetenw.blogsmine.com/34348981/le-malice-dans-la-pierre-black