L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une journée pâle. Les obscurcissements de l'obscurité s’effaçaient larme à doigt, mais sur le papier de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea rythmique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux poétique https://elliottrfpzf.thezenweb.com/l-encre-qui-disparaît-71949656