La nuit tombait sur Venise, et le hameau s’illuminait par-dessous la clarté vacillante des lanternes suspendues au-dessus des canaux. Sur la place San Marco, une quorum masquée s’agitait en silence, impénétrable en arrière des gourmettes luxueuses, glissant par les ruelles pavées mesure le très large bal qui se tenait au https://griffinpereq.losblogos.com/33018638/les-portraits-du-destin