La nuit étendait son store sur la grande ville, dissimulant les formes des bâtiments sous un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, placé au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni moderne ni ancien, un commode machine aux touches effacées https://cristianekmnm.fireblogz.com/64916876/les-résonances-du-silence-de-la-voyance-par-téléphone-audiotel-par-jolie-voyance